La langue Bretonne a beaucoup évolué au fil du temps. Seulement, elle n’est plus du tout autant parlée qu’au temps de nos arrières-grands parents ( voir même arrières-arrières… ). Dans cet article, je vais vous expliquer pourquoi est ce qu’elle n’est plus autant parlée depuis le milieu du 20ème siècle.
En Français…
Les guerres ont eu un grand impacte sur les langues régionales.
Pourquoi ?
Les adultes qui avaient connus la première guerre mondiale ne voulaient pas que leurs enfants se fassent taper par les généraux comme ils ne parlaient pas Français. (Car ils ne les comprenaient pas et ne pouvaient donc pas répondre aux ordres ).
Une chose plutôt bien pensée au début mais les enfants ont fini par se faire frapper pour qu’ils ne parlent pas Breton… À l’école comme à la maison.
On leurs mettait une cloche autour du cou lorsqu’ils parlaient en Breton. Ils étaient même obligés de se dénoncer entre eux. Mais, attendez, ce n’est pas le pire, non. Le pire c’est que les parents en rajoutaient un couche le soir lorsqu’ils apprenaient que les enfants c’étaient fait tapé/cogné/frappé par les professeurs. Le dernier de la journée portant la cloche recevait des coups devant toute sa classe.
En tout cas, cette période n’était pas reposante pour tout le monde…
« Cela partait d’une bonne intension, mais la façon de faire était médiocre ». C’est ce que je dirais…
On peut donc conclure que suite aux guerres le Breton qui était parlée par touts les Bretons a, du jour au lendemain totalement « disparu ».
Heureusement, le Breton reviens à la mode au jour d’aujourd’hui !!! Notre rôle est de savoir pourquoi est ce que on dit que la langue Bretonne est « une langue morte » qui dominait sur le français autrefois.
Ha bremañ, e Brezhoneg !
Neuze, perak ar Brezhoneg a zo tost aet da get en 20vet kantvet ?
Gant ar brezhelioù bed.
Perak ?
Rak an tud gour o doa bevet ar c’hentañ brezel bed n’o doa ket c’hoant e vefe skoet war ho bugale, gant ar general rak ne komzen ket Galleg. ( rak ne gomprenen ket anezho, ne oa ket tu dezho respont d’ar pez o doa c’hoant ).
Un dra soñjet mat e penn kentañ, met ecuet on eus o skeiñ var no evit ne komzfen ket Brezhoneg…
Lakaet e veze ur c’hoc’h tro-dro gouzouk ar re yaoank paz e komzen Brezhoneg. (Ret e oa dezho en em fratrañ an eil d’egile. ) Met, gortozit, n’eo ket echuet !
Très intéressant. Trugarez.
Trugarez Bras,
ça m’encourage pour la suite !!
Hyper bien, merci beaucoup^^
Mann ebet ! ( pas de souci ! )